Cameroun: yaoundé abrite le premier forum national sur les ressources génétiques
Cameroun: Yaoundé abrite le premier forum sur les ressources génétiques.

Clap de fin du premier forum national sur les ressources génétiques du Cameroun. Pendant deux jours, il a été question d’explorer en des termes plus reduit la découverte des trésors cachés des ressources génétiques du Cameroun; de partager, d’échanger des connaissances , et de découvrir des nouvels objectifs , éfficients pour la conservation des ressources génétiques.
Ce premier forum a mis en exergue, l’importance des ressources génétiques pour le développement économique du pays, la recherche scientifique ainsi que la préservation du patrimoine culturel . » Tout le monde a pu constater la richesse des reserves Camerounaises. Le Cameroun représente 92% de transfert en Afrique et que nous avons 11 000 espèces et 9 000 plants, et nous avons vu à travers l’exploitation de ces plants là, qu’il arrive que nous puissions exploiter 9 000 plants selon le model APA » , a déclaré HELE Pierre, ministre de l’Environnement, de la Protection de la Nature et du Développement Durable (MINEPDED).
À l’ancre de la valorisation de ces ressources génétiques, quatre communautés locales signent avec les partenaires de poids une convention afin de répondre au défi de développement des terroirs « Dans le contrat que nous venons de signer, nous avons imposé que les revenus tirés de la commercialisation de ces ressources au niveau mondial soient équitablement partagés entre ces firmes industrielles et nous , qui sommes les communautés productrices…Il s’agit à la fois, de faire la promotion de nos écosystème, de pouvoir les préserver, et de façon générale de valoriser les ressources tirer de ces écosystèmes « , a martelé Sa Majesté Wilfried Yinda, chef traditionnel de Ngompém, Arrondissement de Pouma.

Les recompenses sont offertes, signe d’encouragement pour l’innovation, levier de la croissance économique nationale, pour ce premier forum sur les ressources génétiques du Cameroun.

Réaction:
Harrison AJEBE NNOKO, Directeur de l’ONG AJESH » après le calcul des dépenses et tout , sur le bénéfice de ça , il ya un pourcentage qui revient au pays. C’est tellement claire, et il y a un système de traçabilité que le pays même peut suivre comment les produits et même les ADN qu’on a fait, on fait les analyses, comment ça arrive et qui a acheté. C’est possible d’avoir tous les résultats, tous les montants, et le calcul de montant qui va revenir au pays, parce que c’est un système vraiment international, c’est un système vraiment claire, tellement transparent qui permet à l’État de gagner. L’État peut mettre l’accent sur ce qui se passe. Pour le moment, c’est un programme pilote, AJESH est une Structure qui travaille avec les communautés. On maîtrise la population, on maitrise comment , on va travailler avec la population, la sociologie des communautés, ça permet qu’avant de commencer avec les communautés, tu dois les informer. Beaucoup des dirigeants ont des problèmes de travail avec les communautés, parcequ’ils amènent le projet pour imposer aux gens de la communauté, mais il faut d’abord informer les communauté comme on a fait, pour qu’ils comprennent ce qu’ils sont entrain de voiloir faire, et c’est pour ça que les communautés sont entrain de suivre, pour s’assurer que le projet ci marche bien ».

SD
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