Cameroun: consultation nationale pour la formulation de la strategie nationale de l’économie bleue
Cameroun : consultation nationale pour la formulation de la stratégie nationale de l’économie bleue
La ville de Yaoundé a servi de cadre,d’un atelier consultatif national pour la formulation de la stratégie nationale de l’économie bleue pour le Cameroun, organisés par l’Union Africaine et AU-IBAR, dont la cérémonie de l’ouverture a eu lieu ce 29 juillet 2024, présidée par Jaji Manu Gidado, le Secrétaire Général au ministère de l’Elevage, des Pêches et des Industries Animales. L’objectif étant d’élaborer un document pour le développement de l’économie bleue, cétait en présence du chef de division de l’économie bleue à la commission de l’Union Africaine.
L’économie bleue se présente comme la culture de l’Afrique, la nouvelle frontière de la renaissance Africaine et définit son développement comme un défi prioritaire pour les réalisations et l’accélération d’une Afrique prospère portée sur une croissance impulsive et un développement durable.Elle est considérée sur la base de 5 thématiques à savoir:
1/ la pêche, la conservation du système aquatique durable…
2/ la navigation, le transport maritime, le commerce, port et sécurité
3/ tourisme côtier et martime, infrastructure, environnement, changement climatique..
4/ Ressources minérales, industries innovantes.
5/ politique, instruction, gouvernance, éradication de la pauvreté, création d’emploi.
Pour l’Union Africaine l’economie bleue » c’est tout ce qui est lié à l’exploitation des ressources féodées à tous les milieux aquatiques qu’ils soient maritimes ou continentaux, on parlz de l’acte de rivière de retenu, biensûr côté marrin , tout ce qui est océan, mais 90% de toutes nos économies slnt basées sur le transport maritime par exemple. Mais ce qui se constate aujourd’hui, c’est que la plus part de nos économies sont restés sur une économie bleue traditionnelle : transport martime, pêche, toutisme. Mais l’économie bleue va au delà de ça . Il y a l’énergie, il y a de nuvelles énergies, le tourisme, le transport, ou bien par leq activités côtières. Les installations banières sur les côtes, mais il y a d’autres activités touristiques qu’on peut développer: le tourisme de vision, la vision des baleines. Ensuite, il y a tout ce qui est environnement, les questions liées au changement climatique, ou alors, par exemple dans notre région, dans les regions cotières, mais il y a aussi des minerais . Nos pays ici , dans la sous région sont pour la plus part pétrolier maintenant , d’ailleurs , il y a tous ces richesses « , a laisser entendre Georges MBA ASSEKO, chef de division dr l’économie bleue à la commission Union Africaine.
Pendant trois jours, les experts réunis à yaoundé vont définir les différentes stratégies pour l’élaboration et le développement de l’économie bleue au Cameroun.
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